« J’avouerai de bonne foi que j’aime beaucoup mieux ce qui me touche que ce qui me surprend » disait François Couperin dans sa méthode de clavecin de 1716.
Comme dans un cabinet de curiosités, nous allons découvrir des musiques étranges, bizarres et extraordinaires qui ont pu déranger, saisir, emporter, voire amuser les auditeurs du passé. En passant par le chromatisme exacerbé, nous goûterons les « durezze » italiennes et manquerons de périr dans les eaux dangereuses des dissonances irrésolues.
Eh quoi ! Et si nous étions touchés par ce qui nous surprend ?