L’apothéose de la viole | Carte blanche à Nima Ben David
Home EvénementsL’apothéose de la viole | Carte blanche à Nima Ben David
L’apothéose de la viole | Carte blanche à Nima Ben David
Splendeur de la viole de gambe en France du XVIIe siècle à nos jours
Œuvres de Monsieur de Sainte Colombe, Le sieur de Machy, Marin Marais, François Couperin, Louis de Caix d’Hervelois, Antoine Forqueray et Philippe Hersant
Pourquoi l’école de viole française, malgré sa courte existence, toute au plus quatre-vingts ans, est-elle si brillante, si forte et si miraculeusement liée à l’instrument ? Peut-être, justement, à cause du caractère fondamentalement concret de l’imagination musicale française qui la rend inséparable du médium sonore qu’elle s’est choisie. Les œuvres pour viole de gambe sont modelées sur une certaine technique, un certain style, une certaine couleur sonore qui lui sont attachés et que toute la richesse, la fraîcheur, l’émotion, la beauté de leur musique en est issue
Philippe Hersant est le digne héritier de cette tradition de l’école française de viole. Véritablement passionné par cet instrument et pour son répertoire, il a enrichi le répertoire de la viole et plusieurs de ses œuvres font explicitement référence à la musique des gambistes de l’âge baroque.
Nima Ben David, basse de Viole Laurine Righyni, basse d'archet Iori Hayashi,clavecin